mardi 13 décembre 2016
Laureline Berthelot fait le point 2016
Sur : http://issuu.com/reinechos/docs/reinechos_webmag_2016_1 vous trouverez la dernière revue de la Ligue Rein et Santé et dans ce Rein échos à partir de la page 20 à 23, toutes explications sur les recherches menées actuellement sur la maladie de Berger suite au Congrès international de Tours sur la Nephropathy à IgA
vendredi 11 novembre 2016
Toujours plus d'article pour comprendre
Néphropathie à IgA ou Maladie de Berger
Voici l’excellente présentation de la Pr Sophie de Seigneux sur « Néphropathie à IgA ou Maladie de Berger »
Cliquer sur l’image pour voir et entendre sa présentationNéphrobloghttps://nephroblog.org/2016/11/09/nephropathie-a-iga-ou-maladie-de-berger/
et bientôt un article sur le dernier (Rein échos spécial 10 ans (Congrès IgA point de Laureline Berthelot
jeudi 28 janvier 2016
Cette fois on y croit....
Maladie de Berger : une avancée majeure réalisé à Limoges grâce à une souris
Des chercheurs limougeauds ont réussi à mettre au point un modèle animal capable de reproduire cette grave maladie rénale. Aucune équipe au monde y était jusqu’à présent parvenue.
« On l’appelle la maladie des hypothèses parce qu’on ne sait pas pourquoi elle se développe », explique Jean-Claude Aldigier, professeur de néphrologie au CHU de Limoges. Ce chercheur et toute une équipe du laboratoire d’immunologie labellisé CNRS de Michel Cogné ont pourtant franchi un grand pas, qu’ils s’apprêtent à publier prochainement dans la plus importante revue scientifique mondiale sur le rein : le Journal of the American society of nephrology.
Aux Etats-Unis, en Allemagne, au Japon, des chercheurs travaillent sur des modèles expérimentaux chez les animaux mais aucun jusqu’à présent correspondait exactement à cette maladie rénale chez l’homme. Aucun, sauf celui mis au point à Limoges.
« Nous avons imaginé une souris transgénique capable de fabriquer de l’immunoglobuline A (IgA) humaine, laquelle s’est déposée sur le rein, mimant ce qui se passe chez l’homme atteint par cette pathologie », explique le professeur Aldigier. Une piste unique explorée, donc, pour essayer de comprendre la cause de la maladie de Berger, qui doit son nom au médecin qui l’a décrite à l’hôpital Necker en 1968.
Mais qu’est-ce que l’IgA ? « En fait, pour nous défendre contre les agressions bactériennes ou virales, nous produisons des anticorps, les immunoglobulines, qui sont de plusieurs classes : M, D G, E et A. Ces immunoglobulines sont fabriquées par les lymphocytes B et au cours de la maladie de Berger, l’immunoglobuline A se dépose sur le rein. Or, dans la moitié des cas, ces dépôts provoquent la destruction des reins. Grâce au modèle que nous avons développé, nous avons pu étudier les caractéristiques de cette IgA. Le but est maintenant de découvrir l’élément déclencheur de la lésion rénale, l’origine de l’anomalie dans le fonctionnement des lymphocytes B pour qu’ils fabriquent une immunoglobuline A anormale. »
D’autres expériences sont en cours à Limoges pour répondre à ces questions. Ces manipulations sont financées dans le cadre de la chaire d’immuno-pathologie rénale créée début 2015 entre l’Alurad (Association limousine pour l’utilisation du rein artificiel à domicile) et la fondation partenariale de l’université de Limoges.
Hélène Pommier
mercredi 20 janvier 2016
Tours 15 au 17 septembre 2016
Le grand point sur la maladie de Berger :
14thInternational Symposium on IgA Nephropathy
Symposium on Pathogenesis, Biomarkers and Therapeutic Innovation
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