vendredi 26 novembre 2010

NIGA (néphropathie à IgA)

Prévalence : 60 000 personnes sont concernées par des IgA, lorsqu'il y a des lésions rénales alors 1800 cas par an se retrouvent en IRCT. Si hier 30 à 50% des porteurs d'IgA finissaient en dialyse aujourd'hui seulement 15%.

Heureusement ils ont la possibilité d'une greffe rénale, mais la maladie récidive dans 30% des cas et 15% ont une perte du greffon 10 ans après.

Les recherches cliniques entreprisent ont identifié 3 facteurs de risque importants, le troisième conduit 50% des patients concernés en IRCT.

Nous vous laissons calculer vos chances d'être ou non concerné, c'est la biopsie qui confirmera votre atteinte rénale et cette maladie complexe entre antigène et anticorps.

lundi 15 novembre 2010

Pour ceux qui veulent rejoindre les réseaux sociaux, il faut savoir qu'un collectif de soutien des personnes atteintes de la maladie de Berger existe sur Facebook : http://www.facebook.com/ref=profile#!/group.php?gid=52091169311

Faites leur connaître notre blog, c'est bien la mise en commun de toutes nos informations qui fera avancer les choses. Un échange de savoir entre les européens, les francophones sur cette maladie serait un plus, rassemblons nos connaissances, au moins par des liens.
Les causes des maladies rénales ne sont pas toujours très évidentes, mais parmi les principales on trouve les maladies des glomérules qui résultent principalement :
- du diabète qui concerne bientôt 40% des insuffisants rénaux chroniques terminaux et,
- de la maladie de Berger (1500 cas nouveaux par an).

On tente d'expliquer d'où provient la maladie de Berger et les causes qui font que les IgA (que beaucoup possèdent initialement) dégénèrent au point de perturber la fonction rénale. Les essais actuels sur les souris permettront à terme de prévenir ce dérèglement. En attente il semblerait qu'outre les médicaments usuelles, des apports alimentaires (oméga 3) et l'acupuncture, en sus, pourraient ralentir la destruction progressive des néphrons.

Un point médical important vient d'être fait sur les néphropathies à dépôts mésangieux d'IgA, à partir d'une série documentaire pour les 50 ans de recherche et d'innovations francophones en néphrologie, un des DVD consacre 24 mn à la maladie de Berger, il est réalisé par la SN et la SFN sous la marque DISCOV'R.

Un travail de recherche est également en cours sur les raisons de récidive de la maladie de Berger sur certains transplantés rénaux.

Un échange des savoirs entre les malades eux-mêmes (à leur stade propre de la maladie) serait une bonne chose.

lundi 23 août 2010

Maladie de Berger ou la glomérulo-néphrite à dépôts mésangiaux d’immunoglobuline A :
✗ Chez un adulte jeune :
✔ Hématurie :
• Microscopique / macroscopique
✔ Associée aux épisodes infectieux ORL.
✔ Isolée.
✔ Diagnostic différentiel : lithiase…. Alport.
✔ Ponction de biopsie rénale non systématique.
✗ Evolution vers :
✔ Protéinurie.
✔ Hypertension artérielle.
✔ Insuffisance rénale chronique.
✗ Insuffisance rénale chronique terminale :
Une des première cause d’insuffisance rénale chronique, liée à une glomérulonéphrite chez l’adulte jeune.Récidive après transplantation rénale.
http://www.blogger.com/post-create.g?blogID=4490118221308756099

jeudi 15 juillet 2010

samedi 29 mai 2010

A SAVOIR
Néphropathie à IgA : récidive post-transplantation,
Colloque de Néphrologie, mai 2010 Genève
http://vincentbourquin.files.wordpress.com/2010/05/nephropathie-a-iga.pdf

samedi 8 mai 2010

Encore un site bien détaillé sur la Néphropathie à immunoglobines IgA : http://www.santecheznous.ca/condition_info_details.asp?channel_id=0&relation_id=0&disease_id=260&page_no=2
Conclusions : Il n'existe présentement aucun moyen connu pour prévenir la néphropathie à IgA. Mais, en surveillant les signes et les symptômes de la maladie, il est possible de retarder sa progression vers l'insuffisance rénale.

vendredi 26 mars 2010

Avant même la parution dans Rein échos numéro 8, un article sur la recherche fondamentale qui nous concerne nous les Berger :

10% des malades rénaux chroniques sont atteints par la maladie de Berger
Vers une classification consensuelle des paramètres pathologiques impliqués dans la néphropathie à IgA ?

La néphropathie à IgA ou maladie de Berger est la glomérulonéphrite la plus répandue mondialement. 30% des patients évoluent vers une insuffisance rénale terminale après 20 à 30 ans de maladie, maladie qui représente 10% des transplantations rénales en France. Les patients présentent des symptômes d’hématurie (sang dans les urines) et de protéinurie (protéines dans les urines), signe d’un déclin de leur fonction rénale. Le seul critère de diagnostic de la maladie, décelé lors d’une biopsie, sont les dépots d’anticorps (immunoglobulines de type A ou IgA) au niveau des cellules mésangiales des glomérules (unité du néphron responsable de la filtration du sang). Plusieurs études cliniques internationales ont tenté de définir les paramètres cliniques permettant de pronostiquer l’évolution de la maladie. Cependant les experts ne sont parvenus à aucun consensus. L’hétérogénéité des symptômes et de la progression de la maladie ont donc conduit des néphrologues et chercheurs de plusieurs équipes internationales à tenter de classifier les caractéristiques pathologiques à partir de biopsies rénales de 265 patients souffrant de néphropathie à IgA provenant de huit pays et trois continents différents1,2 avec pour objectifs de déceler les patients avec un mauvais pronostic (un déclin de la fonction rénale) et envisager des traitements en prévention. Les biopsies ont été classées selon six critères : l’hypercellularité (l’augmentation du nombre de cellules) mésangiale, la sclérose segmentale des glomérules, l’hypercellularité endocapillaire, la présence de croissants, l’atrophie tubulaire/fibrose interstitielle et la hyalinose (transparence) des artérioles. Peu de patients ont présenté des croissants et une hyalinose des artérioles. Le déclin de la fonction rénale (l’augmentation de la protéinurie, et la diminution du taux de filtration glomérulaire) semble être associé à l’hypercellularité mésangiale, la sclérose segmentale des glomérules et l’atrophie tubulaire/fibrose interstitielle. Les auteurs de cette étude recommandent d’étudier avec attention ces paramètres dans les biopsies qui semblent déjà se confirmer dans une autre étude3. Certains chercheurs restent cependant prudents et attendent les résultats futurs d’études génétiques et moléculaires4.

Mlle Laureline Berthelot


1 The Oxford classification of IgA nephropathy: rationale, clinicopathological correlations and classification. Cattran et al. Kidney Int, 2009 Jul
2 The Oxford classification of IgA nephropathy: pathological definitions, correlations and reproducibility. Roberts et al. Kidney Int, 2009 Jul.
3 Comments on the Oxford classification of IgA nephropathy. Hill et al. Kidney Int, 2009 Dec
4 Nomenclature of the Oxford classification of IgA nephropathy: do we need to be careful? Mubarak M. Kidney Int, 2010 Jan.

vendredi 26 février 2010

Cela se précise, la maladie de Berger serait multigéniques, donc parfois à prédisposition génétique, mais aussi concernée par l'environnement alimentaire (environnement bactérien, nous avons 25 millions de bactéries dans le corps), après avoir recherché autour de la gorge l'on recherche actuellement sur l'intestin, l'explication de cette maladie.

Il semblerait aussi qu'un facteur soit lié aux glandes surrénales et à la testostérone validés sur le rat émasculé.

Il s'agit d'identifier précisémment la maladie et de la soigner.

On peut penser qu'à 10 ans la recherche aura aboutit à une molécule efficace.

jeudi 11 février 2010

INFORMATION POUR LES PATIENTS ET LEUR FAMILLE
(French Version)
______________
Après avoir étudié votre problème rénal, votre médecin vous a annoncé que vous
aviez une
Néphropathie à IgA (maladie de Berger) ? http://www.igan-world.org/images/Information_pour_les_patients.pdf

et rejoindre le "Collectif de soutien des personnes atteintes de la maladie de berger" sur facebook pour les inscrits

mercredi 6 janvier 2010

Nous nous référons également aux sites de la Ligue Rein et Santé www.rein-echos.org et www.rein-echos.info pour trouver plus d'information sur les maladies rénales en générale et diabétique.

Le parcours des insuffisants rénaux est similaire, mais avec des néphropathies différentes, il ne faut pas ignorer la possibilité de dialyse ou de greffe et savoir si préparer dans le temps, parce que nous sommes tous concernés par des maladies chroniques irréversibles.
Nous vous renvoyons pour d'autres informations sur : http://liguereinsante.subjectonline.com/partagez-vos-experiences-sur-la-maladie-f9/maladie-de-berger-t304.htm#2795

et auprès de ce collectif sur Facebook : http://www.facebook.com/raoult.michel?ref=profile#/group.php?gid=52091169311

et sur wikipedia on peut lire cela :
Contrairement à ce que souvent affirmé, la maladie de Berger n'est pas une maladie rare. En effet, cet néphropathie à immunoglobulines A, est la plus fréquente des glomérulonéphrites primitives. Elle représente, selon l'origine géographique et ethnique des populations, 10 à 40% de ces glomérulonéphrites et atteint l'homme plus souvent que la femme et essentiellement l'enfant et l'adulte jeune (Cf. dossier recherche médicale > maladie de Berger > publication Dr Renato Monteiro INSERM). Je suis atteins de cette néphropathie mise en évidence il y a 18 ans et je confirme qu'à ce jour aucun traitement curatif n'existe. A défaut de traitement curatif il est toutefois possible de ralentir son évolution en observant une bonne hygiène de vie, notamment alimentaire, en limitant les apports protéïniques (en cas de protéinurie) ainsi que les apports sodiques (sels) en cas d'hypertension secondaire (symptôme lié à cette la maladie de berger). Dans cette approche préventive, il est primordial de s'attacher à traiter parfaitement le symptôme d'hypertension artérielle que génère cette néphropathie. En effet l'hypertension contribue à entretenir la réaction en chaîne de dépôts d'igA dans le mésangium rénal, alors que son traitement est contributif de stabilité. Suivant de près les évolutions de la recherche concernant cette pathologie, je reste à votre disposition pour répondre à toutes vos questions dans la mesure de mes connaissances et de mon expérience personnelle. --88.168.205.234 (d) 8 avril 2009 à 12:43 (CEST)Richard.B
Ce document provient de « http://fr.wikipedia.org/wiki/Discussion:Maladie_de_Berger ».

Bonne année 2010 à toutes et tous
En 2003 l'AIRG avait interviewé le Professeur Jacques Pourrat sur la maladie de Berger : http://www.airg-france.org/doc/nephrogene/NEPHROGENE36/INFOMEDICALE-POURRAT.PDF